Diana Damrau soprano
Orchestre National de France. Dir. : C. Măcelaru. Messiaen, Strauss, Tchaïkovski.
Messiaen Le Tombeau resplendissant
Strauss Capriccio, scène finale
Tchaïkovski Symphonie n° 6 « Pathétique »
Voilà un programme qui ne requiert aucune justification sinon le plaisir d’écouter trois œuvres parmi les plus belles du répertoire pour orchestre. Le Tombeau resplendissant, d’abord, comme son titre l’indique, est une page splendide, qui fait partie des toutes premières partitions écrites pour l’orchestre par Messiaen, et qui fut créée par le grand Pierre Monteux. On ne présente plus la Symphonie pathétique, avec sa valse mélancolique et sa marche frénétique, qui s’achève à la manière d’un requiem muet. Entre les deux, Diana Damrau retrouvera Richard Strauss, chantre gourmand et inspiré de la voix féminine, et posera la célèbre question qui est l’enjeu même de Capriccio : « Prima la musica ? e poi le parole ? »
Vous aimerez aussi
Symphonique
Escaich
Orchestre de Paris. Dir. : P. Popelka. G. Capuçon, violoncelle. Dvořák, Chostakovitch.