Brahms Un Requiem allemand
Chœur de l’Orchestre de Paris, Orchestre national de Metz. Dir. : A. Prabava. Avec I. Kyshliaruk & P. Gay.
Brahms aura mis près de dix ans pour achever le Requiem allemand. La mort de son mentor Schumann en 1856, ainsi que de sa mère en 1865, eurent certainement une grande importance dans l’aboutissement de celui-ci.
Brahms choisit l’allemand plutôt que le latin, et dédie ainsi son œuvre au monde des vivants : méditation sur la vie et la mort, sa gravité et son recueillement portent l’espoir de la consolation divine.
Les voix splendides du Chœur de l’Orchestre de Paris et des solistes, accompagnées par l’Orchestre national de Metz, offrent une interprétation du chef-d’œuvre de Brahms à la hauteur de sa dimension universelle, « pour l’humanité », selon les mots du compositeur.
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